Bonjour à toutes et à toutes. On y est, n’est-ce pas ? Le week-end dernier, le dernier chapitre de Demon Slayer : Kimetsu no Yaiba est sorti sur MangaPLUS, fermant ainsi le livre de l’histoire du nekketsu de Koyoharu Gotoge. L’histoire du blog ayant commencée avec l’Analytique N°1 sur Demon Slayer, laissez-moi clore le premier chapitre de notre histoire avec une critique dédiée à l’intégralité de Demon Slayer. Je vous invite également à lire mes autres articles sur Demon Slayer : L’Analytique N°15 qui revient sur son boost incroyable, les Critiques N°2 et N°13 respectivement sur ses tomes 1 et 2 et le tome 6, et le Top M’en 5 N°8 sur les 5 Raisons de lire Demon Slayer.
Enfin, avant de commencer, je tenais tout d’abord à vous dire que vous pourrez trouver en fin d’article des liens vers des articles de collègues blogueurs ou vers des vidéos YouTube. C’est dans la grande majorité des review de Demon Slayer ou des simples vidéos sur le sujet. Voilà, allons-y !
Vous commencez à prendre l’habitude, ce sera identique aux critiques que j’ai faites sur JoJo’s Stone Ocean, JoJo’s Steel Ball Run, Nanatsu no Taizai et Go-Toubun no Hanayome, il y aura une balise spoiler quand je parlerai du scénario. Le reste de la critique est garanti sans spoiler, que vous suivez la parution française, l’anime ou même que vous passiez juste en vous demandant ce qu’est Demon Slayer, vous ne craignez absolument rien.
Un nekketsu, mais…

Commencé le 15 février 2016 dans le Weekly Shônen Jump, Kimetsu no Yaiba, connu chez nous sous le titre de Demon Slayer, a pris fin le lundi 18 mai 2020. Malgré un succès historique, un film d’animation en fin d’année et une saison 2 très probablement sur les rails, le manga de Koyoharu Gotoge s’est arrêté après 205 chapitres dans le Weekly Shônen Jump #24 de 2020, Jump #24 qui risque de devenir l’un des rares numéros à avoir été en rupture de stock.
Devenu numéro 1 du Weekly Shônen Jump en termes de classement et de ventes, Demon Slayer est un pur shônen nekketsu. Le manga nous emmène à la rencontre de Tanjiro Kamado, jeune livreur de charbon qui perd sa famille, tuée par un démon. Seule sa jeune soeur Nezuko survit, mais elle a été transformée en démone. Afin de la sauver, il est envoyé vers Urokodaki, ancien pourfendeur de démons qui entraînera Tanjiro afin qu’il puisse intégrer leurs rangs.
Demon Slayer est un manga intéressant à analyser par rapport à son genre. Oui, il s’agit d’un shônen nekketsu. Cependant, Demon Slayer s’amuse à se jouer de plusieurs codes du genre. Par exemple, la quête d’identité familiale, qui est souvent une caractéristique du shônen nekketsu (Gon de HunterXHunter et Natsu de Fairy Tail pour ne citer qu’eux). Ici, on connaît dès le début l’intégralité de la famille Kamado, et aucun membre, à part bien évidemment Tanjiro et Nezuko, n’est convenablement développé (hormis Tanjuro Kamado, père de Tanjiro, pendant un petit flashback).
De même pour la psychologie du héros, Tanjiro. Contrairement à bien d’autres héros de nekketsu, il n’a pas de rêve grandiose à accomplir, il ne veut pas devenir le plus fort. Il souhaite juste sauver sa soeur. Gotoge a pris le pari de créer un héros de nekketsu humain, et ça lui a au final réussi, Tanjiro étant le point qui nous intègre à l’univers de Demon Slayer, il réussi très bien le rôle d’un protagoniste : nous connecter à son monde. Mais j’y reviendrai un peu plus tard.
Une ambiance incroyable

Demon Slayer brille par son univers, mais aussi sur un point où on attend peu les nekketsu : Son ambiance. Le manga arrive à nous agripper afin de nous immerger totalement dans son univers. Demon Slayer est l’un des rares shônen mainstream que je connaisse, avec Shingeki no Kyojin, à avoir un rapport aussi franc avec la mort : aucun personnage n’est assuré de survivre, et l’auteure le sait. Je ne dirais rien de plus, car on reste dans la partie non spoil, mais le manga rend chaque mort importante, même pour des personnages peu développés.

Un autre point où Demon Slayer s’en sort à la perfection, c’est sur la gestion de son univers. L’idée de placer le récit durant l’ère Taisho peut paraître assez inutile au départ. Pourquoi le début du 20ème siècle précisément ? Il est difficile d’apporter une réponse précise au pourquoi du comment, mais Demon Slayer utilise très bien son cadre historique, notamment avec l’arc du train de l’infini. L’univers de Demon Slayer ne prend jamais les devants par rapport au scénario, mais il reste solide, très solide.
Des personnages incarnant la beauté humaine

J’aimerais revenir sur les personnages de Demon Slayer, que je vais essayer d’analyser dans leur globalité sans spoiler, car on reste malgré tout dans la partie hors spoiler. La plupart des personnages de Demon Slayer sont construits autour d’un drame, certes, mais ce qui est intéressant est leur réaction à ce drame, surtout que pour certains personnages, il n’est révélé que très tard dans l’histoire, ce qui fait que leur mythe se construit bien plus autour de leur personnalité et de leur caractère.
Mais ce qui est intéressant dans Demon Slayer, et ce qui rend chaque personnage très attachant, c’est leur réaction à ce drame qui les touche. Tanjiro et Giyuu ont par exemple des réactions totalement différentes, réactions qui va les impacter dans leur évolution.
C’est aussi ici que se trouve l’une des plus grandes forces de Demon Slayer : la diversité de ses personnages, tant sur le plan physique que psychologique. Je me limiterai juste aux couvertures des 20 tomes avec les noms des personnages en couvertures, afin de ne rien spoiler, mais de tout de même de vous illustrer la diversité que Gotoge a réussie à mettre en place.
Tanjiro Kamado et Nezuko Kamado Tanjiro Kamado et Muzan Kibutsuji Tanjiro Kamado et Zenitsu Agatsuma Tanjiro Kamado et Inosuke Hashibira Giyuu Tomioka Shinobu Kocho Inosuke Hashibira Kyojuro Rengoku Uzui Tengen Tanjiro Kamado Nezuko Kamado Muichiro Tokito Genya Shinazugawa Mitsuri Kanroji Gyomei Himejima Kagaya Ubuyashiki et Amane Ubuyashiki Sanemi Shinazugawa Kanao Tsuyuri Iguro Obanai Yoriichi Tsugikuni
Il est intéressant d’observer les couvertures de Demon Slayer, qui évolue peu à peu en fonction de l’arc narratif. Les 4 premiers tomes nous montre Tanjiro, protagoniste principal, accompagné d’un autre personnage. Tout d’abord sa sœur, puis son ennemi juré, et enfin deux de ses amis, Zenitsu et Inosuke. Ici, le but est de nous emmener à la rencontre du groupe de protagonistes.
Les tomes 5 à 8 nous présentent 3 autres personnages, tous très importants pour ce passage de l’oeuvre : Giyuu Tomioka (tome 5), pilier de l’eau et Shinobu Kocho (tome 6), pilier des insectes. Ces 2 personnages sont très importants dans la conclusion de l’arc commencé au tome 4. Puis on retrouve Inosuke (tome 8), et Rengoku (tome 8), qui sont aussi très importants dans l’arc contenu dans ces tomes.
Je vais pas tous les faire, je pense que vous avez compris. Chaque volume a en couverture un personnage important dans l’arc en cours, cependant, aucun antagoniste n’est présent, afin d’éviter le spoil et de garder la hype des lecteurs assez haute. C’est très bien joué.
Un style de dessin atypique mais agréable

Un autre point sur lequel Koyoharu Gotoge s’est énormément améliorée depuis ses débuts : son dessin. Lors de la lecture des 2 premiers tomes, je trouvais son trait assez hésitant et trop abrupt (avec assez peu de figures arrondies), mais sur ce point, c’est vraiment beaucoup mieux. Voici un petit comparatif entre Tanjiro au chapitre 1 et Tanjiro au chapitre 203
On remarque très facilement que le trait de l’auteur a gagné en fluidité et en simplicité, tout en gardant son style très caractéristique. Alors on est pas au niveau d’une transformation à la Dr. Slump, mais comparer les planches des chapitres 1 et 205 nous donne parfois l’impression de lire 2 mangas différents si on se fit uniquement au dessin.

Chers non-lecteurs de Demon Slayer, je vous conseille de vous arrêter ici. En effet, à partir de maintenant je vais parler du scénario, en le spoilant pour pouvoir l’analyser sous toutes ses coutures. Je vous remercie d’avoir pris du temps afin de lire cet article, je vous invite à vous abonner au blog si vous souhaiter me soutenir ou à laisser une petite étoile sous cet article ! Bonne fin de journée à vous.
BALISE SPOILER !!!
On est entre nous ? Tant mieux. Je vais parler du scénario en 2 parties : tout d’abord, je vais revenir sur les 180 premiers chapitres du manga, avant de dédier toute une partie au dernier arc du manga, afin de vous expliquer pourquoi il n’est pas si nul qu’on le dit. Cette partie sur l’arc final sera d’ailleurs par la suite enrichie par un article dédié à l’analyse du personnage de Muzan, qui sortira le 21/05/2020, et une partie dédiée à l’analyse du dernier chapitre du manga, qui sortira elle le 24/05/2020.
Bien, fin de cette petite interlude, nous pouvons reprendre.
Un scénario prenant

Le scénario de Demon Slayer est excellent et très bien mené dans sa globalité. Gotoge a parfaitement menée son oeuvre là où elle le voulait.
Alors certes, le combat combat contre Muzan est un peu moins bon, c’est un fait. Mais je garderais un excellent souvenir des 10 arcs précédents. Gotoge a réussi à mettre en place une montée en puissance tout au long de son manga, surtout du côté des antagonistes. Pour ce qui est des protagonistes, c’est un peu plus confus…
On sent que l’auteure a cherché à nous faire comprendre la faiblesse de l’être humain face aux démons. Mais à partir de l’arc commençant au tome 9, les power-ups des protagonistes vont devenir un peu plus confus. Je ne suis pas fan des explications à rallonge des pouvoirs de tel personnages, je préfère quand on laisse une part d’imagination. Pour Demon Slayer, j’ai bien mieux compris la majorité des powers-ups du manga (sabre rouge, monde transparent) après relecture.
Ce n’est pas un défaut, j’adore comprendre des choses d’un autre œil en relisant une oeuvre qui m’est chère, mais pour le lecteur non averti, il peut être parfois un peu perdu.
Je vous propose de revenir sur chacun des arcs en une dizaine de lignes chacun, en faisant une grosse partie sur la saison 1, car la critique est déjà assez longue. Ainsi, si vous n’avez vu que l’anime, vous pourrez juste lire mon avis assez bref sur ce que je pense du manga sur les mêmes arcs.
Si vous êtes intéressés, n’hésitez pas à me dire en commentaire si vous voulez des critiques dédiés à chaque arc !
La saison 1 (tomes 1 à 6) : des débuts assez hésitants
C’est la moins bonne partie du manga. Elle fait ce qu’elle a à faire pour ce qui est de nous introduire à l’univers avec 4 petits arcs et un plus conséquent ( le mont Natagumo). Je n’aurai pas grand chose de plus à dire sur cette 1ère partie du manga, on sent qu’il s’agit de celle qui est globalement la moins aboutie du manga, et pour cause, il s’agit de ses débuts. Néanmoins, elle reste très bonne à lire et très plaisante à regarder !
L’arc du Train de l’Infini, le début des choses sérieuses
Cet arc a été pour beaucoup la révélation, en plus d’avoir été l’arc qui a sauvé Demon Slayer au niveau des ventes. On parle d’une époque où la série faisait 21 815 ventes en 1ère semaine avec son tome 4. Les tomes 7 et 8 ont fait progressé la série niveau ventes, (57 083 en 1ère semaine pour le tome 7, 81 312 en 1ère semaine pour le tome 8, 88 438 en 1ère semaine pour le tome 9).
L’arc du Train de l’Infini, que beaucoup découvriront avec le film en fin d’année) marque un tournant dans la série, en plus de marquer une grande évolution avec la mort d’un personnage très important, des enjeux de plus en plus présent, et le monde que Gotoge a mis 6 tomes à mettre en place qui commence à s’activer. Vivement le film afin de redécouvrir cet arc incroyable.
L’arc des Quartiers Rouges, toujours plus fort
Réussir à taper encore plus fort que l’incroyable arc du train de l’infini, est-ce possible ? C’est ce qu’a réussi à accomplir l’arc des Quartiers Rouges, aussi connu sous le nom d’Arc Geisha. Le premier combat contre une Lune Supérieure, Uzui Tengen, qui passe de personnage détestable à véritable héros tragique, les progrès de nos protagonistes qui commencent à se faire ressentir, mais surtout le premier passé d’antagoniste réellement touchant. Chaque moment de cet arc est contrôlé d’une main de maître par une auteure qui sait comment mettre en place un suspense,
Encore un arc excellent pour Demon Slayer, encore plus que le précédent, et considéré par beaucoup comme étant l’apogée de l’oeuvre de Gotoge.
L’arc des forgerons, le tout petit creux de la vague
Comme ses deux prédécesseurs, cet arc met en valeur des membres des pourfendeurs. Sauf qu’il ne se concentre par sur un membre des pourfendeurs, mais 3. Liez-ça au fait que les antagonistes de cet arc sont honnêtement les moins bon de la série et on obtient un arc qui reste très agréable à lire, mais que je considère comme étant en deçà par rapport aux autres.
Est-ce la faute à un cadre moins intéressant, un simple village ? Est-ce la faute aux antagonistes, avec l’un insupportable et l’autre anecdotique ? Un peu de chaque. Cet arc ressort clairement comme étant un passage obligé, afin de développer des personnages (qui sont pour certains les meilleurs de l’oeuvre) avant le raz-de-marée final…
L’arc de l’Entraînement des Piliers, le calme avant la tempête
Après toutes ces péripéties, on a le droit à un petit arc de transition faisant office d’entraînement, avant le grand combat. Cet arc sert avant tout à placer les personnages avant le combat final (notamment du côté de Zenitsu et de Tamayo par exemple), tout en développant les quelques personnages n’ayant pas encore eu droit à une grosse mise en avant (Sanemi Shinazugawa et Gyomei Himejima pour ne citer qu’eux).
Cet arc est aussi un passage obligé, comme le précédent, mais contrairement à l’arc des forgerons, j’aime énormément l’arc de l’entraînement des piliers. Peut-être est-ce simplement car il enrichit bien plus l’univers ?
L’arc de la Forteresse Dimensionnelle Infinie, l’apothéose
Que dire sur cet arc tellement il est… Parfait ? Les arcs narratifs de chaque personnage qui se concluent un à un, les Lunes Supérieures qui ont toutes le droit à un gros développement, des combats dramatiques au sens propre… Vraiment un arc qui remplit très bien son rôle d’avant dernier-arc, en développant une dernière fois l’intégralité de son casting, et en arrivant à nous faire ressentir que plus rien ne sera comme avant.
L’arc « Sunrise Countdown », si catastrophique que ça ?

On va en finir une bonne fois pour toutes : non l’arc final de Demon Slayer n’est pas une catastrophe. Non il ne ruine pas le manga. Le combat peut vous sembler décevant car Muzan semble ne pas être impliqué, mais pour cela, il faut s’attarder plus en détail sur le personnage. Demain sortira une Personnalitay dédiée à Muzan et ce week-end sortira une Analytique dédiée à l’analyse du chapitre 205.
Globalement, l’arc final fait ce qu’il a à faire, en restant en accord avec ce qui a été développé tout le long du manga : Muzan reste fidèle à lui-même, en s’économisant le plus possible afin d’assurer sa survie, plutôt que de partir dans un festival pyrotechnique en duo avec Tanjiro.
L’arc clôture également les développements de personnages restants. Le combat ne ressemble pas à un combat, certes, ça m’a déçu, mais il faut penser plus loin. Le combat ne pouvait pas juste être un affrontement entre Tanjiro et Muzan. L’arc nous raconte l’ascension des Pourfendeurs de Démons, et la chute de Muzan. D’un côté, tout les Pourfendeurs de Démons s’unissent pour détruire leur dernier ennemi, dernier ennemi qui paie enfin le prix de son égoïsme, étant trahi par l’un des 2 seuls démons qui ait échappé à son contrôle.
Demon Slayer est un shônen nekketsu qui ne resta pas comme étant une révolution de son genre. Cependant, comme d’autres, il a réussi à assimiler les codes du nekketsu afin de s’en jouer. Mais Demon Slayer a cette chose en plus, ce petit plus composé d’une mélancolie palpable et d’une franchise vis-à-vis de la mort. Chaque personnage peut mourir, et c’est ce qu’on apprend tout au long des 23 tomes. En résulte un nekketsu extrêmement bien mené et d’une durée idéale, ce qui est suffisamment rare dans le Jump pour le souligner.
Demon Slayer restera malgré tout comme étant un de mes nekketsu favoris. Pas trop long pour garder une rythme plaisant et pas trop court pour nous faire voyager tout au long de ses 205 chapitres compilés en 23 tomes. J’aime Demon Slayer, et mon âme le chérira comme étant le nekketsu qui m’aura accompagné pendant mon lycée. Alors je le clame haut et fort. Merci Gotoge, merci pour tout.
Avant de passer à la notation, que vous savez excellente vu comment je n’ai pas été avare en éloge envers ce manga, je vous partage les liens de plusieurs vidéos YouTube et articles sur Demon Slayer :
- La vidéo d’Elena qui est une preview très bien réalisé des tomes 1 et 2.
- La vidéo de l’ami Geek o World sur Demon Slayer
- Les vidéos d’Otakulte sur les raisons de lire Demon Slayer et l’origine de son succès
- La vidéo d’Iconoclaste centrée sur le personnage de Tanjiro Kamado
- L’article de l’Apprenti Otaku sur les tomes 1 et 2, il a fait une review de chaque tome d’ailleurs.
- L’article de Komorebi sur les tomes 1 et 2, il a également fait une review de chaque tome
Et encore merci à Scantrad d’avoir traduit tout le manga.
Notation:
Personnages: 19/20
Scénario: 16,5/20
Ambiance et Univers: 20/20
Dessins: 18,5/20
Plaisir de Lecture: 20/20
Total : 94/100 = 18,8/20
Demon Slayer a marqué l’histoire du manga comme étant l’un des plus grands succès commercial de la décennie. Cependant, son succès est dû à la qualité du manga, manga qui est excellent. Vous pouvez ne pas aimer Demon Slayer, mais il s’agit d’un nekketsu qui m’a indéniablement marqué. Que ce soit par ses personnages très bien écrits, ses combats haletants et son univers glauque et passionnant, Demon Slayer a écrit une page de l’histoire du Weekly Shônen Jump.
Merci pour ces 4 ans de travail, Gotoge. Merci de m’avoir fait pleurer, rire et trembler pendant 2 ans.

Merci beaucoup pour le lien aux côtés de tout ce beau monde.
J’ai bien apprécié la construction de ton article.
J’apprécie particulièrement le fait que tu te soit attarder sur le sens des couvertures.
J’ai plus que hâte de découvrir la fin de l’arc du train de l’infini et le cinq suivants.
Par contre, je ne comprends toujours pas qu’un arc final puisse gâcher l’oeuvre, ça me perturbe. Mais s’il es effectivement réussi ici, c’est bon à prendre.
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Merci pour ton commentaire !
Oui, j’ai vraiment essayé de repenser la construction des critiques intégrales, et c’est ce que je ferai pour les suivantes, avec un aparté sur les couvertures.
Pour ce qui est de l’arc final, c’est plus une réponse au ressenti global autour de ce dernier, ressenti assez négatif que je ne comprends pas dans sa globalité
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